Brigitte Bonomo
Photos
On ne cache pas le temps qui passe sur les mains. Elles sont souvent marquées par les éléments que l’on manipule et par les années. Brulées, craquelées, coupées, déformées ou ridées elles ne s’arrêtent jamais quelque soit l’âge car pour certains, cela veut dire la fin du travail et parfois la misère.
Le noir et blanc met en valeur l’histoire dans le cadre : le sujet, le contraste, la matière et la forme.
J’ai toujours été fascinée par le travail des mains, par celles de mon père et de ma mère, amoureux de la cuisine italienne, qui travaillaient la pâte. De cette fascination est né ce projet sur les mains comme un hommage à toutes ces personnes qui vivent du travail de leurs mains avec une pensée particulière pour mon père.
Arnaud MoreauPhotographe et Arts numériques
C'est en 2013, au travers d'un simple iPhone, que j'ai ressenti les premières émotions…Découvert mon moyen d'expression...La folie, la mélancolie, la colère, le beau...Au fil du temps, des rencontres, de l’expérience, la technique s'est affinée, le ressenti s'est précisé, et le résultat en est le reflet.La photo est pour moi, l'art de tester, de sublimer et de prendre des risques.Toujours dans l'envie de créer , certains "Univers" sont nés de mon imagination. Vous pourrez retrouver mes oeuvres lors d'expositions diverses et variées. Embarquez avec moi et j'espère que ce voyage dans mon imaginaire, vous ravira autant qu'il me transporte et me motive.
Annabelle AmoryPeintures
Annabelle déchire, découpe et colle sur la toile divers papiers, qu’elle recouvre ensuite de peinture acrylique.
La plupart du temps, les pages et cartes remplacent la peau des personnages mais il arrive que parfois, ils se muent en étoffe. Le choix de pages de roman et de vieilles cartes à jouer n’est pas anodin : Annabelle s’exprime depuis l’enfance par la rédaction de nouvelles et de romans. L’utilisation d’une technique mixte dans une même toile renvoie également à la dualité qu’Annabelle souhaite exprimer à travers ses portraits. Tout comme sa thèse, pluridisciplinaire, et ses femmes, hybrides, elle prône le mélange des genres et la mixité. Le tableau ne se regarde plus, il se lit, et les caractères inscrits sur les pages de livres deviennent un motif de remplissage au même titre qu’une couleur.
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